NdZJe vous l'avais dit qu'il fallait oublier vos à prioris sur One Piece ! Désolée pour ceux qui ne valident pas ce genre d'UA. Pour les autres, j'annonce la couleur : 16 chapitres et un épilogue. Robin arrive au chapitre 03. J'attends vos retours avec impatience ! Merci d'avoir lu :) [et le premier qui dit que le titre est pourri T.T je suis désolée !] Objetqui porte malheur dans une maison : les fleurs et les plantes. Les fleurs sont des éléments de la nature d'une grande beauté qui, cependant, ne sont pas toujours liés à la pureté et à la chance. Les fleurs sèches, par exemple, sont étroitement liées à la malchance, car elles manquent d'énergie et l'absence d'écoulement nuit Notresite Web est le meilleur qui vous offre CodyCross Une fleur qui dit « Ne m'oubliez pas » réponses et quelques informations supplémentaires comme des solutions et des astuces. Utilisez simplement cette page et vous passerez rapidement le niveau que vous avez bloqué dans le jeu CodyCross. 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Ce « () sont les Allemands qui ont donné son nom à cette fleur, il est normal de parler du mythe des deux amants qui, se promenant le long du Danube, virent les premiers ces fleurs d’un bleu éclatant. L’homme, cueillant les fleurs pour sa dame, tomba à l’eau et lui cria de ne pas l’oublier alors qu’il W9GEUC. – Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste…– Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.– Ah! pardon, fit le petit après réflexion, il ajouta– Qu’est-ce que signifie apprivoiser » ?– Tu n’es pas d’ici, dit le renard, que cherches-tu ?– Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu’est-ce que signifie apprivoiser » ?– Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C’est bien gênant ! Ils élèvent aussi des poules. C’est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?– Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu’est-ce que signifie apprivoiser » ?– C’est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie créer des liens… »– Créer des liens ?– Bien sûr, dit le renard. Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n’ai pas besoin de toi. Et tu n’as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde…– Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur… je crois qu’elle m’a apprivoisé…– C’est possible, dit le renard. On voit sur la Terre toutes sortes de choses…– Oh! ce n’est pas sur la Terre, dit le petit renard parut très intrigué – Sur une autre planète ?– Oui.– Il y a des chasseurs, sur cette planète-là ?– Non.– Ça, c’est intéressant ! Et des poules ?– Non.– Rien n’est parfait, soupira le le renard revint à son idée– Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m’ennuie donc un peu. Mais, si tu m’apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m’appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde ! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c’est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d’or. Alors ce sera merveilleux quand tu m’auras apprivoisé ! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j’aimerai le bruit du vent dans le blé…Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince– S’il te plaît… apprivoise-moi ! dit-il.– Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n’ai pas beaucoup de temps. J’ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.– On ne connaît que les choses que l’on apprivoise, dit le renard. Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !– Que faut-il faire? dit le petit prince.– Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t’assoiras d’abord un peu loin de moi, comme ça, dans l’herbe. Je te regarderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t’asseoir un peu plus près…Le lendemain revint le petit prince.– Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l’après-midi, dès trois heures je commencerai d’être heureux. Plus l’heure avancera, plus je me sentirai heureux. A quatre heures, déjà, je m’agiterai et m’inquiéterai; je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n’importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m’habiller le cœur… Il faut des rites.– Qu’est-ce qu’un rite ? dit le petit prince.– C’est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard. C’est ce qui fait qu’un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me promener jusqu’à la vigne. Si les chasseurs dansaient n’importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n’aurais point de le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l’heure du départ fut proche– Ah! dit le renard… Je pleurerai.– C’est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t’apprivoise…– Bien sûr, dit le renard.– Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.– Bien sûr, dit le renard.– Alors tu n’y gagnes rien !– J’y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du il ajouta– Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d’un petit prince s’en fut revoir les rosesVous n’êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n’êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisé et vous n’avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n’était qu’un renard semblable à cent mille autres. Mais j’en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au les roses étaient bien gênées.– Vous êtes belles, mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu’elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c’est elle que j’ai arrosée. Puisque c’est elle que j’ai mise sous globe. Puisque c’est elle que j’ai abritée par le paravent. Puisque c’est elle dont j’ai tué les chenilles sauf les deux ou trois pour les papillons. Puisque c’est elle que j’ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c’est ma il revint vers le renard– Adieu, dit-il…– Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.– L’essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.– C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.– C’est le temps que j’ai perdu pour ma rose… fit le petit prince, afin de se souvenir.– Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l’oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose…– Je suis responsable de ma rose… répéta le petit prince, afin de se du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry. Bonjour, Effectivement comme le dit Batouran, il faudrait connaître la région et les conditions de culture générales de vos Arum ou Calla. Perso nous en avons en Bretagne, en terre plutôt calcaire terre neutre ce serait mieux, avec de l’humus, et l’an dernier et les années précédentes, quoique nous les ayions déplacés il y a 4-5 ans, ils étaient en fleurs, maison secondaire au cours du printemps, début et milieu d’été je crois, d’après les renseignements fournis par les voisins… Donc, curieusement, ce mois de juillet, nous les avons trouvés avec feuilles jaunies, couchées ! les arums aiment beaucoup l’eau ! Ils ont un paillage d’ardoise sur feutre géotextile, mais le jardin n’est quasiment sauf exception, jamais arrosé, en notre absence, qui a duré de nombreux mois et avec ZERO FLEURS , car le jardinier qui vient pour l’entretien, les a à notre demande débarrassés des inflorescences fanées qui produisent des graines rouges toxiques, puisque c’est un lieu de passage très fréquenté par de jeunes enfants… Du coup aucune fleur, ni bouton de fleur à l’horizon… Mais chez nous elles poussent comme de la mauvaise herbe et je pense qu’elles vont faire une remontée de fleurs d’ici quelques semaines, voire mois. Je ne donne quasiment jamais d’engrais, mais là en août on va leur donner de la CORNE BROYEE et voir si elles font moins de feuilles jaunes, qui peuvent aussi signaler une CARENCE… Bonne chance avec vos arums, Doris Samedi 18 avril 2020. Le 18 avril, comme chaque année, c’était la Saint-Parfait. Je rayais, heureux, d’une croix le 17 avril. Un jour de fini. Un nouveau jour se levait. La Saint-Parfait ! J’évitais de compter les jours qu’il me restait à vivre jusqu’à La libération, le 11 mai cette année. Ce n’est pas bon pour le moral », j’avais lu. Il fallait vivre l’instant présent, accueillir l’instant présent comme une chance, la chance de ne plus rien faire, l’occasion d’être, de partager du temps avec ses enfants, son époux, son épouse, ses amis, euh non, pas ses amis, son chien, son chat, son poisson rouge confiné depuis sa naissance dans un bocal rouge, l’occasion de réfléchir au sens de sa vie et à l’avenir de la planète, du moins pour les troisièmes lignes qui n’étaient ni appelées en deuxième ligne ni au front. Les choses s’arrangeaient sur le front des tranchées, les cas diminuaient de jour en jour, on commençait à démonter l’hôpital militaire de Mulhouse et à respirer, le Chef avait fait du bon boulot. Enfin, on voyait le bout du tunnel. Les rescapés de guerre donnaient leur témoignage dans Libération Un enfer, je me serais cru en enfer ». C’était la Saint-Parfait et l’été en avril semblait persister. Je descendais l’escalier de ma mezzanine, réveillé par des rayons éclatants, tirais le rideau, ouvrais la fenêtre, le ciel était bleu et les oiseaux chantaient. Un bleu cruel qui me faisait oublier les morts, toujours cet air de vacances insolent, ou, consolateur, ou revigorant. Une. Une fleur. J’avais deux mots pour me tenir compagnie. Bleue. Une fleur bleue. Trois mots. Une fleur bleue au bord de ma fenêtre. Huit mots que je notais sur mon carnet rose. Je lui disais Bonjour ! ». Douze. -Comment ça va ? – Plutôt bien, et vous ? » Dix-neuf. – Je compte les mots. –Etrange… ». Vingt quatre mots déjà ! – Ca passe le temps, je suis confiné. – Confiné ? ». J’en étais rendu au trente-deuxième mot en à peine cinq minutes. J’imaginais le nombre de mots que je pourrais posséder à la fin de la journée. Je les vendrais, ou mieux, je les placerais en Bourse, je spéculerais, j’en ferais des petits, des millions de petits que je cacherais dans un paradis fiscal, je deviendrais le Google des mots ! Combien pouvait coûter un mot ? Il y avait les droits d’auteur de la fleur à déduire. Je renonçais à ma tâche, le calcul mental m’épuisait. Je cherchais une mission plus métaphysique. Des mots bleus. La journée précédente, j’avais vu sur mon fil de mon actualité Facebook Les mots bleus » chantés par différents chanteurs. Mais qu’est-ce qu’ils avaient tous à partager Les mots bleus » ? A cause du soleil ? A cause du Convid-19 ? Oui, d’accord, c’était une belle chanson, les mots bleus »… Au cœur de la nuit, à minuit, ne parvenant à trouver le sommeil, je découvrais, toujours sur le fil de mon actualité Facebook la mort de Christophe, atteint du Covid-19. Ma première mission ce matin était d’aller acheter le journal. Organiser sa journée était primordiale en temps de guerre. Je voulais en savoir plus sur Christophe. De lui, quand j’étais jeune, j’avais le souvenir d’un excellent dragueur dont les filles étaient folles quand il chantait Et j’ai crié, Aline, Aline pour qu’elle revienne… » . Elle n’était pas revenue Aline mais des centaines de filles s’étaient précipitées dans son lit. Vieux, j’avais ce souvenir de lui, un visage sombre, angoissé, à la limite de la dépression, murmurant Je lui dirais les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux… ». C’était beau, c’était beau, les mots bleus, je les fredonnais, les mots bleus, mais je n’arrivais jamais à me souvenir de la suite. Avec les yeux»… Heureusement, il y avait Boris, Camarade incollable, un juke-box de la chanson française à lui tout seul. Parler me semble ridicule… Je lui dirais les mots bleus, ceux qui rendent les gens heureux… Une rencontre… De nos retrouvailles… Une histoire d’amour sans parole… ». C’était en avril, les mots n’étaient plus utiles, le silence les avait exprimé, une larme, un sourire. Je me dirigeais au Tabac-Presse de Beautour après avoir coché ma case d’autorisation de sortie Acheter le journal des mots bleus ». Les Bleus étaient dans les parages près des bords de la Sèvre. Désolé, je n’ai plus Libération », me répondit Aline, la buraliste au joli masque fleuri. De ce pas, je courais au Tabac-Presse du Lion d’Or à l’autre extrémité Nord-Est, il me restait dix minutes. Fermé. Le Tabac-Presse du Lion d’Or était fermé. Deux minutes, j’avais deux minutes pour rejoindre le Tabac-Presse de la Sèvre à l’autre extrémité Nord-Ouest. Il en restait un, un Libération », et en première page, Christophe, obscur derrière ses lunettes rondes, l’air tourmenté d’un dandy romantique qui faisait tout son charme, aux joues creusées de sillons qui marquaient le temps, les pensées, les whisky et les oiseaux de nuit. Né d’une famille italienne à Juvisy-Sur-Orge, il y avait mieux comme ville. Collé en pension à l’âge de 12 ans à Montlhéry, là aussi, il y avait mieux. Daniel, il s’appelait encore. Il rêvait d’être acteur, Daniel, mais, au retour du service militaire, il décidait de s’appeler Christophe et prit ses ailes, être chanteur. Il descendit à Saint-Trop, où, du beau monde, il fit la rencontre. Je savais tout maintenant sur Christophe, ou presque, ma première mission était accomplie, il était bientôt midi, il faisait chaleur, une chaleur de réchauffement climatique. Il ne me restait plus aucune seconde pour rentrer me confiner. J’avais épuisé mon crédit de temps. J’étais un hors-la-loi avec mon journal sous le bras, et je fredonnais Je lui dirais les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux… ». Camarade, c’est quoi, la suite ? ». Camarade était loin, confiné à Paris et ne pouvait me souffler la suite. Un homme en bermuda arrachait, de sa binette, l’herbe verte rebelle sur le trottoir, le long du muret gris de son pavillon. Laissez-la, l’herbe ! Laissez-la, on a besoin d’herbes, depuis qu’on ne peut plus marcher sur les bords de la Sèvre ! » Lui criais-je en silence, à l’homme à la binette. Il ne m’entendait et poursuivait sa destruction inévitable. Je lui dirais les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux… ». Je n’avais plus envie de rentrer chez moi me confiner. Je déserterais, j’irais dans le ciel… Une rencontre… de nos retrouvailles… », Christophe, tu lui as dit, tu lui as dit les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux » ? ». Christophe me regardait, une lueur dans les yeux. Chemin de la Roche Verte. Il y avait toutes sortes de fleurs sur le trottoir, le long des murets des maisons coquettes. Je respirais, j’avais retrouvé un peu plus loin la nature, et les vaches écossaises. Était-ce prudent de le dire ici? Qui me lirait ? Qui me lisait ? Un, deux, trois, quatre, cinq amis, peut-être, je comptais mes doigts, dix étaient le maximum. Vous ne me dénoncerez pas les amis ? Promis ? ». Les vaches m’avaient regardé, je leur avais dit les mots bleus », je pouvais rentrer me confiner. L’après-midi fut calme. J’appelais mais il n’y avait personne au bout du fil. Ce serait pour demain… Les heures s’écoulaient en attendant 17h30, l’heure où j’écrirais mon dixième récit. C’était important, ils avaient dit aussi, de se donner un cadre, un emploi du temps. De 17h30 à 19h30, c’était mon temps d’écriture non rémunéré. Pour qui j’écrivais ? Quel journal ? Intime », le journal Intime », ou, le journal Partagé ». Partagé », je préférais partager en attendant Gallimard, Godot n’était pas venu. Une… L’incertitude de la page blanche. C’était le temps des incertitudes. Rien n’était parfait même le jour de la Saint-Parfait. D’où venait ce virus ? Comment on s’en sortirait et de quoi ? On ne savait rien, personne ne servait rien. De mon avenir, je ne savais rien. Plus d’emploi. Depuis plus d’un an, aucun spectacle vendu. Plus aucun à l’horizon. Ils plaisaient mes spectacles, mais aucun ne les achetait. La vie était devenue rude dans le show-biz et je n’étais pas un businessman. Hé, Man ! », dans quelle case on me collerait ? Coudre des masques entre deux chinois ? Plus vite ! Plus vite ! ». Je me coudrais les doigts en voulant passer le fil dans le trou, je tomberais et me noierais. On ne savait plus où on en était, ce qu’on attendait, ce qu’on faisait, quelle heure, il était, qui viendrait dîner ce soir, qui m’appellerait, qui j’appellerais, qui j’étais. Je lisais qu’on venait de découvrir que le Covid-19 causait des troubles mentaux se traduisant en pertes d’orientation. – Je veux passer un test !– Etes-vous malade ? – Je ne sais pas, justement je veux passer un test pour le savoir ! –On ne fait passer des tests qu’à ceux qui sont malades. Au revoir ! ». Je lui dirai les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux» … Parler était ridicule. Dans ma ville, il faisait froid, et moi, j’ai appris à ne plus parler… à me cacher… », Jean-Louis Aubert avait pris le relai sur Facebook, son concert live qu’il nous offrait chaque samedi soir chez lui, dans sa maison à la campagne. Un concert rien que pour nous, paumés, fatigués, reliés aux écrans de nos Smartphone. Une Le petit Larousse de Poche La Une – La première page d’un journal Etre à la une. Une Le petit Rousse de Poche Fleur. Ce soir, c’était samedi soir, le samedi soir de la Saint-Parfait. Ce soir, je dégusterais mon Cidre fermier à six euros trente sur ma nappe provençale. Ce soir, je trinquerais avec moi mon dixième récit de ConfiNez ». Ce soir, je regarderais ma fleur, je lui dirais les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux. Ce soir, et dans le cœur de ma fleur, ce soir, il y aurait Vous. Thierry Rousse, Nantes, samedi 18 avril 2020. 10ème récit, 34ème Jour de ConfiNez Les fleurs n'ont pas toujours la forme à laquelle on s'attend. Cette sélection vous propose de découvrir ces végétaux qui ont la particularité de ressembler à tout autre chose. Silhouette de singe, visage d’ange, masque de Dark Vador, découvrez leur galerieLa nature n'en finit pas de nous surprendre. Ces fleurs à l'aspect étonnant en sont de parfaits exemples. Si l'on vous demandait de décrire l’une d’entre elles, vous mentionneriez surement des pétales disposés en couronne, ou superposés les uns sur les ces spécimens-ci ont décidé de faire beaucoup plus original. De l'Antirrhinum en forme de tête de mort, à la Dracula Simia en forme de crâne de singe ou encore la Aristolochia Salvadorensis qui rappelle le visage de Dark Vador, ouvrez grands les yeux !1- La fleur Dracula Simia Avec un nom pareil, on s’attendait à une silhouette de vampire, n’est-ce pas ? Eh bien pas du tout ! On se retrouve face une tête de singe. 2- La fleur Aristolochia Salvadorensis Avec ses couleurs sombres, elle rappelle le visage de Dark Vador, le célèbre personnage de Star Wars . Reste à savoir si elle a la même voix ! 3- Les orchidées Orchis Italica Comment ne pas craquer devant ce végétal qui rappelle deux petits bonhommes nus se tenant par la main ? 4- La fleur Psychotria Elata Un baiser ? », semble nous proposer cette fleur aux allures très glamour. Egalement connue sous le nom de "lèvres chaudes", elle ressemble à s’y méprendre à une bouche vernie de gloss rouge vif. On adore ! 5- La fleur ImpatiensBequaertiiRare, cette fleur prend l’aspect de filles en pleine danse. On a l’impression d’assister à une farandole en suspension. Joli moment de poésie. 6- L'orchidée Ophrys bombylifloraEffet trompe-l’œil réussi pour cette fleur qui se présente sous la forme de bourdon coloré et hilare avec sa langue rouge ! Qui osera la butiner ? 7- Les Anguloa Uniflora Avec leurs multiples couches entremêlées, elles ressemblent à des bébés emmaillotés ! Et quand on a très faim, on a presque l’impression de voir de raviolis asiatiques. Pas vous ? 8- Les Impatients PsittacinaDeux petits oiseaux en train de roucouler ? Non regardez de plus près. Il s’agit c'est une fleur connue sous le nom d'Impatients Psittacina. 9- Les fleurs de l'AntirrhinumLes jardins sont de réels cabinets de curiosité. La preuve avec les fleurs de l'Antirrhinum qui, lorsqu’elles fanent, prennent une forme de crâne. Une sorte de vanité qui nous rappelle notre mortalité, comme en peinture ? 10- Les Caleana MajorCes végétaux nous donnent l’impression d’assister au spectacle de canards pourpres au bec jaune prêts à prendre leur envol. Bluffant. 11- La fleur Calceolaria UnifloraSommes-nous face à une armée de lutins colorés et joyeux ? Méfiez-vous des apparences ! Il s’agit en fait d’un champ recouvert de Calceolara La fleur Habenaria GrandifloriformisQuand la nature se décline en poème, c’est en prenant la forme d’anges ou de créatures immaculées aux ailes légères comme la fleur Habenaria Grandifloriformis. 13- L’orchidée Habenaria RadiataLa poésie est toujours au rendez-vous avec cette fleur-symbole. Ne dirait-on pas une colombe, en plein vol, pour apporter la paix ? 14- La fleur Phalaenopsis En l’observant de plus près, c’est encore plus bluffant. Cette fleur apparaît tel un majestueux oiseau protégeant un trésor ou un papillon doré. 15- La roseLe temps qui passe défait-il son œuvre ou en crée-t-il une autre ? Alors que cette rose est en train d’expirer, une tête de mort semble s’être développée dans ses pétales. Fanny oui tu me manques, desolée de t'avoir dit "JE T''AIIIME" en plein milieu d'un couloir !C'est fou mais tout ces moments avec toi me manque te souviens de cette photo? "Je te fait un bisous et ca immortalisera notre amitié" .Parce qu'on était de grosses gamines avec des delires TRES con. Mais qu'est ce que je les aime" -T'es pas de ma famille-Oh putain ! vu ta guelle j'espere pas-MAis SIII SIII ! tu bosse dans un magasin!-Mimi aide moi " La binocle !Je sais pas ce soir l'envie de te dire que je t'aiiime!Mais j'arrive pas à m'exprimer, peut être plus tard. Posted on Sunday, 11 November 2007 at 146 PMEdited on Friday, 16 November 2007 at 1013 PM

une fleur qui dit ne m oublier pas